Comme la plupart des logiciels d’infographie, GIMP fonctionne sur un système de calques. Une image peut, en effet, être constituée de nombreux détails. Utiliser les calques permet de gérer chacun de ces éléments et de les superposer en couches pour créer une seule et même création. Selon les besoins, il est possible d’utiliser des calques de tailles différentes.
La modification des couleurs est l’une des fonctionnalités les plus utilisées au sein d’un logiciel de création graphique. Comme tous ses concurrents, GIMP propose de nombreuses options permettant d’ajuster les teintes de ses images. Il est, par exemple, possible de désaturer les couleurs pour passer une photo en noir et blanc.
Les logiciels de retouche d’image tels que GIMP permettent de réaliser toutes sortes de transformations. Ce dernier possède notamment toute une sélection de filtres de distorsion. Les effets sont nombreux : kaléidoscope, mosaïque, papier journal, ondulations, vagues, etc. Il suffit de faire son choix et d’appliquer le filtre sur un calque.
Le logiciel GIMP recèle d’effets variés pour personnaliser une création. Vous voulez ajouter de jolis effets étoilés sur votre image ? Vous allez adorer l’outil « Supernova ». Ce dernier permet d’ajouter un halo de lumière autour d’une zone sélectionnée en amont.
Il existe quantité de filtres applicables dans GIMP. Parmi eux, on compte notamment le flou gaussien. Cet effet, créé par le mathématicien Carl Friedrich Gauss, applique un voile sur l’ensemble de l’image. Pour affiner cet effet, on définit un rayon qui permet d’étendre ou de diminuer le flou.
Au sein d’un éditeur d’images comme GIMP, les filtres sont utilisés pour changer le rendu d’une création. Il en existe de toutes sortes : effets de flou, distorsions, ombres, lumières, etc. En tout, on en compte près de 160 disponibles dans le logiciel ! Il est possible d’en appliquer plusieurs par image, par calque ou même par zone. Cette manipulation permet de considérablement modifier l’apparence de l’image de base.
Les calques, c’est la vie ! Ces outils bien pratiques sont indispensables quand on travaille au sein d’un logiciel d’édition d’image. Ils permettent de gérer différents éléments de façon séparée et s’organisent au sein d’une section dédiée. Notre série de tutoriels a abordé les nombreuses manipulations possibles pour les calques : la création, la fusion, les groupements, les déplacements, etc. Il est temps maintenant de passer à une étape tout aussi importante : la suppression !
Les calques permettent de travailler séparément sur les éléments constituant une même image. Parfois, il peut être nécessaire de les fusionner. Cela permet notamment d'éviter de surcharger son plan de travail. La fusion de calques se pratique beaucoup en fin de création afin de voir plus clair dans les différentes éditions réalisées.
Travailler sur les calques dans GIMP demande de maîtriser toutes sortes de fonctionnalités : la création, la suppression, les modes de fusion, le déplacement… L’alignement est un outil qui peut aussi s’avérer utile. Ce dernier permet, comme son nom l’indique, d’aligner différents calques au sein d’une même image.
Quand on fait de l’édition d’image sur GIMP, savoir utiliser les calques est primordial. Ces derniers permettent de travailler séparément sur différents éléments d’une création. Ils s’assemblent ensuite, couche après couche, pour créer une image entière. GIMP permet de créer des calques de taille différente et de s’adapter à tous les besoins.
Les calques sont un peu le nerf de la guerre dans tout logiciel d’édition d’image qui se respecte. GIMP ne fait pas exception. Le principe de cette fonctionnalité indispensable ? Une image est bien souvent composée de différentes couches, comportant chacune des modifications. C’est leur superposition qui crée la création finale. Cela a plusieurs avantages : on peut modifier les différents éléments plus finement, sans impacter forcément la globalité de son travail.
Le logiciel GIMP possède une vaste gamme de filtres. Ces outils permettent de modifier des calques ou des zones présélectionnées. Ils sont de types variés : certains permettent de faire des jeux d’ombre et de lumière, d’autres donnent la possibilité de déformer les images, d’autres encore ajoutent aux calques toutes sortes de textures. Vous l’avez compris : les filtres sont des outils particulièrement utiles !
Réalisée sous licence LGLP, la bibliothèque FFmpeg permet d’importer et d’exporter une grande gamme de formats audio, comme AAC, AC3, ALR et WMA. Elle permet aussi d’importer l’audio d’un grand nombre de formats vidéo. En raison du brevet sur le logiciel, Audacity n’intègre pas directement FFmpeg. Son installation diffère sur Windows et Mac.
Vous souhaitez élargir vos possibilités de créer de nouveaux sons sur Audacity ? Pour cela, vous pouvez ajouter des plugins et des bibliothèques supplémentaires au logiciel de montage audio. Les plugins vous permettent notamment d’avoir davantage d’effets à votre disposition.
Audacity ne comprend pas de module pour graver directement les CD. Il prépare par contre à la gravure, sur un logiciel dédié.
L’effet réverbération est un des plus connus et des plus utilisés dans Audacity. Il permet de simuler un son « en live », mais pas seulement. Il peut aussi créer une atmosphère particulière, par exemple avec un son éthéré et distant. Notons que la réverbération fait partie du menu « Effet », qui ne crée pas de nouvelles sonorités mais qui change les sonorités existantes.
Les boucles sont à la mode, notamment en musique. Elles permettent par exemple de transformer quelques secondes de batterie en un long enregistrement de batterie. La boucle peut permettre dans ce cas de créer un accompagnement à partir d’un court enregistrement. Vous pouvez aussi faire une nappe sonore en mettant en boucle un échantillon de musique.
Il se peut que vous ayez à mixer plusieurs pistes. Par exemple pour mélanger une interview avec une musique d’ambiance. Voici une aide pour mieux les paramétrer pour obtenir le son que vous souhaitez.
Vous pouvez facilement enregistrer le flux audio interne de votre ordinateur avec Audacity. Que ce soit pour une série en streaming, une vidéo sur Youtube ou encore pour une chanson écoutée sur Deezer. Vous pouvez enregistrer tous les sons qui passent par le circuit audio de votre ordinateur.
Des bruits de fond désagréables peuvent possiblement se glisser lors de votre enregistrement. On peut tenter de sélectionner manuellement tous les moments où il existe un bruit de fond, mais cela peut être assez long et compliqué.
Vous enregistrez votre voix par exemple et vous remarquez un décalage entre le moment où vous parlez et le moment où Audacity enregistre ? Cela vient de la latence.
Vous avez effectué un enregistrement sur Audacity, mais, c’est ballot, vous vous rendez compte que le son n’est pas assez fort ? Vous souhaitez donc augmenter le volume, sans pour autant obtenir un son saturé. Comment faire cela ? C’est ce que nous allons voir.
Vous aimeriez enregistrer séparément les sons d’une même piste ? Pour apprendre à faire cela, c’est par ici que ça se passe.
Si vous êtes venu sur cette page après une recherche Google pour trouver des recettes de fondus savoyardes, passez votre chemin. Nous vous autorisons à pester en route contre les algorithmes de la firme de Mountain View.
Avant de vous lancer dans un enregistrement sur Audacity, mieux vaut faire quelques réglages pour que votre son soit le meilleur possible.
Vous avez effectué par exemple un podcast, et vous avez remarqué en le réécoutant qu’il possède un grand nombre de silences assez longs. Vous aimeriez peut-être les supprimer ? Pour cela, vous pouvez vous servir de l’effet « Tronquer le silence » proposé par Audacity. Il permet de trouver automatiquement ces instants sans entrée sonore et de les raccourcir.
Vous êtes plus à l’aise pour enregistrer sur Audacity dorénavant. On vous connait, vous aimeriez maintenant savoir comment appliquer des effets, enlever des bruits, ou encore vous servir des plugins pour éditer ? Suivez le guide.
Après, ou avant avoir choisi la bonne source, réalisé des tests, et édité, vous pouvez sauvegarder votre fichier. Voyons cela.
Il peut être utile de programmer un enregistrement sur Audacity, sur le même modèle qu’un enregistreur vidéo numérique. Vous pouvez choisir un début et une fin à cet enregistrement. Cela peut aussi être intéressant d’activer un enregistrement par le son, pour une interview sonore notamment. Cette fonctionnalité permet en effet de ne pas enregistrer les longs silences. Voyons comment fonctionnent ces deux types d’enregistrements.